• Accueil
  • Nos produits
    • Totemigo
    • AniMate
    • eeForm – Sensibilisations et Formations
    • Ressources gratuites
  • Formations eeForm
  • Ressources gratuites
  • Nous
  • FAQ
  • Contact
Menu
  • Accueil
  • Nos produits
    • Totemigo
    • AniMate
    • eeForm – Sensibilisations et Formations
    • Ressources gratuites
  • Formations eeForm
  • Ressources gratuites
  • Nous
  • FAQ
  • Contact
  • Accueil
  • Produits
    • Totemigo
    • AniMate
    • eeForm – Sensibilisations et Formations
    • Ressources gratuites
  • Formations eeForm
  • Ressources
  • Nous
  • FAQ
  • Contact
Menu
  • Accueil
  • Produits
    • Totemigo
    • AniMate
    • eeForm – Sensibilisations et Formations
    • Ressources gratuites
  • Formations eeForm
  • Ressources
  • Nous
  • FAQ
  • Contact
Progressez à
votre rythme, avec
un formateur dédié !
  • Découvrez eeForm
    • Page d’accueil
    • Comment se passe une formation eeForm ?
    • Pourquoi choisir eeForm ?
    • Financement des formations
  • Nos sessions
    • Sensibilisations gratuites
    • Formations payantes
    • Toutes nos sessions
  • Nos intervenants
  • Nos ressources gratuites
    • Articles
    • Matériels
    • Quiz
    • Toutes les ressources
  • Financer sa formation
  • Contact
Menu
  • Découvrez eeForm
    • Page d’accueil
    • Comment se passe une formation eeForm ?
    • Pourquoi choisir eeForm ?
    • Financement des formations
  • Nos sessions
    • Sensibilisations gratuites
    • Formations payantes
    • Toutes nos sessions
  • Nos intervenants
  • Nos ressources gratuites
    • Articles
    • Matériels
    • Quiz
    • Toutes les ressources
  • Financer sa formation
  • Contact
Découvrez le modèle eeForm

Découverte

Votre horaire, votre rythme. Et toujours avec le formateur !
Découvrir le modèle

Votre horaire, votre rythme. Et toujours avec le formateur. Découvrez le modèle ici !

7 étapes pour apprendre à un enfant autiste à demander

Publié le 28/01/2022

Une introduction en vidéo, cliquez ici

Vimeo

En chargeant cette vidéo, vous acceptez la politique de confidentialité de Vimeo.
En savoir plus

Charger la vidéo

Les bébés neurotypiques, très tôt, savent parfaitement nous faire comprendre ce dont ils ont besoin : corps qui se tend désespérément vers l’objet convoité, bruits de bouche, sourcils qui se froncent et regard qui suit nos moindres mouvements… Impossible de se tromper. Chez l’enfant autiste, néanmoins, cela est plus compliqué : rien dans son attitude ne laisse présager qu’il désire tel ou tel objet et, plutôt que de vous demander votre aide, il préfère tout faire tout seul – quitte à empiler des chaises les unes sur les autres pour attraper des objets en hauteur. Aussi, vous vous demandez certainement : comment rendre sa communication plus fonctionnelle ? Apprendre à un enfant autiste à demander est-il possible ? Oui, et heureusement ! Pour savoir comment, en tant que professionnel·le de santé, vous pouvez l’accompagner dans cet apprentissage, découvrez nos 7 étapes !

Enfant qui point pour demander
Image de Pexels

Étape 1 : Définir les centres d’intérêt de l’enfant TSA

Avant même d’enseigner la demande à l’enfant, identifiez ses centres d’intérêt :

  • aime-t-il jouer ? Si oui, avec quels types de jeux ?
  • y a-t-il un aliment qu’il affectionne tout particulièrement ?
  • préfère-t-il la science ou les objets littéraires ?

En fonction de ses intérêts particuliers, vous pourrez alors identifier un objet qui suscitera son désir au moment où vous le lui montrerez. Qu’il s’agisse d’un avion, d’un train, d’un cheval, d’une poupée ou d’un yaourt, la procédure restera ensuite la même : peu importe, donc, l’objet en question.

En réalité, ce qui importe vraiment, c’est de parvenir à éveiller l’attention de l’enfant TSA (ou spectre du trouble autistique).

Plus ce dernier se montrera motivé par l’activité, plus vous vous rapprocherez de votre objectif.

En effet, il présentera moins de difficultés à sélectionner et utiliser le système de communication adapté pour obtenir ce qu’il désire.

De plus, cette motivation provoquera des sentiments positifs, qui sont renforçants pour l’enfant : réussir dans une entreprise entraîne en effet joie, fierté et confiance en soi.

Vous avez sélectionné un objet qui suscite un intérêt tout particulier auprès de l’enfant ? Ce dernier ne cesse de sauter tout autour de vous, apparemment surexcité par la présence du jouet, livre, autre ?

STOP ! Il est possible que vous ayez choisi un objet très envahissant pour le petit, qui risque de dévoiler certains troubles du comportement.

Notre conseil : sélectionner une chose qui est motivante pour l’enfant, mais pas trop.

Cela vous semble difficile ? N’hésitez pas à vous tourner vers les parents et les proches de votre patient·e : sa famille se montrera d’une grande aide lors de cette étape.

Un deuxième conseil serait de sélectionner, dans un premier temps, un renforçateur dont le nom soit facile à prononcer (dans le cas d’un·e autiste verbal·e). Ceci facilitera l’apprentissage lors des premières séances.

Enfin, cet objet doit être facile à donner et à récupérer au cours de la séance en cabinet.

Vous souhaitez apprendre à demander de l’attention, de l’aide ou une information plutôt qu’un objet ? Pas d’inquiétude ! La démarche reste la même : vous n’avez plus qu’à suivre les étapes suivantes, en adaptant les situations présentées à la vôtre.

Étape 2 : Adopter une position qui favorise l’échange bidirectionnel

Bien sûr, montrer à l’enfant un objet qu’il convoite ne suffit pas !

Peut-être avez-vous déjà lu nos conseils sur la mise en place des compétences socles en communication ?

Eh bien, ici, les mêmes bonnes pratiques s’appliquent : pour favoriser l’échange, placez-vous à distance respectable de l’enfant, tout en restant visible, et positionnez-vous à sa hauteur.

Montrez-lui alors l’objet qu’il aime bien et faites mine de vous amuser avec. Affichez votre enthousiasme non seulement en le manipulant, mais aussi en parlant à voix haute.

Chez un enfant neurotypique, les signes de sa convoitise seront visibles très tôt :

  • il y aura tout d’abord la posture (regard, position du corps et du visage) ;
  • puis le pointage avec l’index ;
  • enfin, la demande : « je veux la poupée ».

Chez la personne autiste, ce processus ne sera pas aussi naturel et les signes de son intérêt pourraient bien être moins visibles.

Aussi, observez sa réaction avec attention. S’approche-t-elle ? Regarde-t-elle en direction de l’objet ?

Tous ces signes vous indiqueront si l’objet choisi est le bon.

Image montrant la bonne position à avoir

Étape 3 : Laisser l’enfant autiste prendre l’initiative de la demande

Bien sûr, dès que vous observez des signes d’intérêt, ne lui donnez pas l’objet tout de suite !

N’oublions pas le but de la séance : que l’enfant autiste apprenne la demande.

Aussi, laissez-lui le temps de prendre l’initiative et n’anticipez pas ses besoins (au risque de lui enlever la possibilité d’apprendre à demander).

Cela peut être difficile dans un premier temps. Néanmoins, soyez indulgent·e envers vous-même : l’enfant n’est pas seul·e à apprendre !

Par ailleurs, il n’existe pas qu’une seule façon de réclamer un objet. Que l’enfant que vous accompagnez soit verbal ou non, il a à sa disposition différents outils pour transmettre son message :

  • dans le cas d’une communication verbale, il pourrait utiliser un mot ou une ébauche de mots, voire une phrase construite ou un pictogramme ;
  • dans le cas d’une communication non verbale, il pourrait employer le pointage, le regard et les gestes de manière plus générale.

Étape 4 : Prononcer le nom de l’objet pour faire émerger la demande

Dès l’émergence des premiers signes de la demande, vous pouvez guider l’enfant en prononçant le nom de l’objet et/ou en le pointant du doigt.

Toutefois, n’utilisez pas de phrase interrogative du type « tu veux le ballon ? ».

En effet, le choix de réponse, dans ce cas de figure, est très limité : « oui » ou « non ». Ceci ne favorise pas l’émergence du langage et, plus globalement, de la communication.

Au contraire, l’enfant doit pouvoir imiter le mot que vous venez de dire. Néanmoins, si les efforts requis sont trop importants dans un premier temps, donnez-lui l’objet immédiatement.

L’important est d’y aller étape par étape, sans générer de frustration ou de sentiment négatif.

Pour vous aider à comprendre la mise en place de cette étape, nous vous proposons un exemple :

  • vous montrez l’objet à l’enfant (poupée, ballon, puzzle, livre, etc.) et jouez avec ;
  • ce dernier se rapproche de vous ;
  • comme vous venez d’identifier sa motivation à participer à l’activité, dites le mot qui désigne l’objet, par exemple « ballon », et pointez-le du doigt ;
  • attendez une ou deux secondes pour voir si l’enfant va répéter ;
  • si non, dites encore « ballon » et montrez-le du doigt ;
  • attendez une ou deux secondes ;
  • si l’enfant ne dit toujours rien, vous pouvez malgré tout lui donner l’objet.

Peu à peu, la personne autiste va se mettre à répéter le nom de l’objet après vous. Dès lors, il s’agira de passer à l’étape suivant pour supprimer cette guidance orale dans l’apprentissage de la demande.

Étape 5 : Poser une question pour initier la demande

Rappelez-vous nos conseils de l’étape 4 : la question doit rester ouverte et non fermée.

En effet, le but est de pousser l’enfant à manifester son désir.

Aussi, reprenez l’exemple ci-dessus et, plutôt que de dire « ballon », demandez « que veux-tu ? »

Cela donnera alors la situation suivante :

  • vous montrez l’objet à l’enfant et jouez avec ;
  • ce dernier se rapproche de vous ;
  • posez la question « que veux-tu ? » ;
  • attendez une ou deux secondes pour voir si l’enfant va vous répondre ;
  • si non, posez à nouveau votre question ;
  • attendez une ou deux secondes ;
  • si l’enfant ne dit toujours rien, vous pouvez malgré tout lui donner l’objet, en disant « ballon », ou « je veux ballon » en fonction du niveau de l’enfant.

Le but ici est de passer d’une simple imitation vocale du mot à une demande volontaire.

Mais peut-être vous demandez-vous que faire une fois que l’objet a été donné à l’enfant ?

Pas de panique ! Cela ne signe pas l’arrêt de la séance. Vous pouvez répéter l’activité plusieurs fois : avec un objet que vous pouvez facilement récupérer (par exemple, un flacon à bulles) ou des jeux qui sont en plusieurs parties (jeux de briques, puzzles, etc.) ou des petits morceaux de gâteau, par exemple,  si la demande était sur de l’alimentaire.

Étape 6 : Savoir quand s’arrêter dans l’apprentissage

Tous les enfants, au cours d’une activité, peuvent perdre leur motivation à la poursuivre.

Bien sûr, la durée au cours de laquelle cette perte de motivation survient peut être très variable : de 5 minutes à plusieurs heures, en fonction de la personnalité de l’enfant en question.

Néanmoins, dans tous les cas, mieux vaut cesser l’apprentissage.

Les signes d’une démotivation sont assez facilement identifiables : demandes de plus en plus lentes, voire absentes, enfant qui se détourne n’en sont que quelques-uns.

Image illustrant la démotivation d’un enfant

Étape 7 : Changer de contexte et d’environnement pour mieux enseigner la demande

Dans le cas d’une séance en cabinet, il peut être relativement simple de reproduire les gestes et paroles de la demande.

Néanmoins, en dehors de ce contexte « idéal » (pas de bruits perturbateurs, lieu de confiance), l’enfant TSA est-il capable de formuler une requête ?

Pour s’assurer que cela soit bien le cas, il n’existe pas mille solutions : il faut réaliser la même activité en dehors du cabinet.

Pour y parvenir, faites intervenir les parents et enseignants. Apprenez-leur à enseigner la demande à l’enfant et proposez-leur de mettre en place différents environnements et scénarios.

Vous n’avez pas d’exemples d’incitations à communiquer en tête ?

Ne vous en faites pas : nous en avons prévu quelques-uns.

  • À table, donnez le yaourt mais non la cuiller.
  • Serrez le bouchon très fort avant de donner une bouteille d’eau.
  • Mettez les objets souhaités à une hauteur trop élevée pour que, même avec une chaise, il ou elle ne puisse les attraper.
  • Mangez quelque chose qu’il ou elle apprécie tout particulièrement, tout en restant dans son champ de vision.

Bref : faites appel à votre imagination !

Image montrant un enfant qui demande en dehors d’un cabinet
Image de Pexels

Résumé des étapes pour apprendre à un enfant autiste à demander

Finalement, pour apprendre à un enfant autiste à demander, nul besoin de stratégies pédagogiques complexes : les 7 étapes que nous venons de voir suffisent.

Il s’agit de :

  • déterminer les centres d’intérêts de l’enfant et sélectionner un objet le motivant ;
  • se mettre à sa hauteur et dans son champ de vision ;
  • initier la dynamique en jouant avec l’objet et laisser l’enfant prendre l’initiative ;
  • prononcer le mot désignant l’objet, attendre quelques secondes avant de le lui donner ;
  • poser la question « que veux-tu ? », attendre un peu et lui donner l’objet ;
  • s’arrêter en cas de démotivation ;
  • changer d’environnement.

Ces différentes étapes sont adaptées non seulement aux personnes autistes verbales, mais aussi aux non verbales. Vous pouvez donc adapter votre accompagnement en fonction des besoins et capacités de la personne en face de vous.

Bref : vous venez d’apprendre comment mettre en place l’un des précurseurs de la communication chez l’enfant TSA.

Néanmoins, il en existe bien d’autres pour favoriser l’échange et l’interaction sociale.

Lesquels ? Comment les mettre en place et s’adapter aux spécificités des enfants autistes ? Si vous vous sentez perdu·e dans tout ce jargon technique, pas de panique ! Cela est tout à fait compréhensible : l’autisme est un monde vaste et plein de surprises. Vous souhaitez ne plus restez sur vos acquis et développez vos compétences en même temps que vos connaissances ? Formez-vous pour évaluer et développer la communication chez l’enfant avec TSA !

Articles eeForm

Découvrez d’autres articles par nos formateurs

Comprendre la LEGO® Thérapie : qu’est-ce que c’est ?

Suivre une thérapie tout en jouant aux petites briques de couleur ? La Lego® thérapie est bien plus que cela… Découvrez-la à travers 8 questions !

Voir l'article »
Pour ou contre le « coussin de la colère » – Une analyse d’outils de gestion des émotions

Une analyse d’outils de gestion des émotions. Certains outils ne sont pas adaptés pour les enfants, lesquels ?

Voir l'article »
Handicap moteur et communication : quelles bonnes pratiques mettre en œuvre ?

Les outils de la CAA sont-ils adaptés aux troubles moteurs ? Quelles sont les bonnes pratiques ? Reprenons tout sur le handicap moteur et la communication !

Voir l'article »
Les 10 étapes clefs du programme d’entraînement aux habiletés parentales

Le programme d’entraînement aux habiletés parentales est dédié aux parents d’enfants hyperactifs ou dans l’opposition. Découvrez-le en 10 étapes clefs !

Voir l'article »
Pour aller plus loin
Loading...
Enseigner la demande chez l’enfant TSA : étapes et erreurs à éviter
  • Durée : 1h
  • Sensibilisation gratuite
  • Replay disponible
  • Communication, TSA
Demander est une fonction essentielle de la communication : l’enseigner est une priorité. Elle permet à l’enfant d’accéder à ce qu’il veut vraiment, et…
Voir les détails
Comportements précurseurs à la communication chez l’enfant avec TSA
  • Durée : 15h
  • Formation payante
  • Inscriptions ouvertes
  • Communication, TSA
De l’évaluation spécifique aux procédures de développement, cette formation est proposée par une orthophoniste expérimentée. Elle vous transmet des outils d’évaluation conçus pour les…
Voir les détails
Sous la direction de :
Loading...
Véronique Faccenda
orthophoniste spécialisée dans les TSA

Diplômée en 1994 en tant qu’orthophoniste à la Faculté de Médecine de la Pitié-Salpêtrière de Paris, elle est spécialisée dans la prise en charge d’enfants et d’adolescents présentant des troubles neurodéveloppementaux, comme les troubles sévères du langage oral, les troubles de l’attention avec hyperactivité et les troubles du spectre autistique.

Son parcours professionnel :

  • En 2008, elle se spécialise dans la prise en charge des enfants avec autisme et enchaîne les formations en commençant par le MAKATON, le PECS et poursuit avec l’Analyse appliquée du Comportement.
  • De 2014 à 2016, elle se forme à l’approche ABA-VB auprès de Caroline Peters (BCBA – ABA Institut), sur les compétences sociales des TSA et la passation de la VB-MAPP.
  • En 2015 elle décroche le Diplôme Universitaire « Autisme et Troubles Apparentés » à Tours avec pour sujet de mémoire « les groupes d’habiletés pré-sociales pour des enfants avec autisme »  et valide une grille d’évaluation.
  • En 2016, elle suit la formation de technicien comportemental RBT par Learn Enjoy avec Olivier Bourgueil (BCBA). Parallèlement elle est supervisée par Charlotte GAMARD formatrice en ABA-VB.
  • En mars 2018 elle obtient le Certificat en Analyse Comportementale Appliquée auprès du Centre Genève pour l’Autisme en Ontario, délivré par Andrew DAVIS.
  • Elle suit également l’atelier Pratique avancé en ESDM (Véronique Chiasson) et est certifiée.
  • Entre 2018 et 2021 elle exerce au sein du Centre de consultation spécialisé en autisme (CCSA) de Genève, en Suisse.

Voir plus

D'autres ressources eeForm pour vous
Loading...
Habiletés sociales : définition et particularités dans l’autisme
  • Article
  • Communication, Habiletés sociales, TSA
Vous pensez que les habiletés sociales sont innées ? Pas forcément ! Pour les enfants avec autisme, tout n’est pas si évident. Découvrez pourquoi…
Publié le 07/06/2021
Voir les détails
Une sélection de jeux pour développer les fonctions exécutives à télécharger
  • Matériel
  • Ecole, Famille, Psychomotricité, TDAH, Troubles DYS, TSA
Développer ses fonctions exécutives grâce aux jeux : c’est possible ! À mettre en place au cabinet, à la maison ou à l’école. Découvrez…
Publié le 08/03/2022
Voir les détails
Pourquoi utiliser la LEGO® Thérapie ? 7 bienfaits
  • Article
  • Ecole, Emotion, Psychomotricité, TDAH, TSA
Comment le jeu peut-il aider les enfants neuroatypiques à atteindre leurs objectifs ? Réponse avec la LEGO® thérapie et ses 7 bienfaits !…
Publié le 24/02/2022
Voir les détails
Autisme et tablette numérique : est-ce compatible ?
  • Article
  • CAA, Communication, TSA
Les écrans sont-ils déconseillés pour les personnes avec autisme ? Et bien, non ! Autisme et tablette numérique sont compatibles : découvrez comment en…
Publié le 14/02/2022
Voir les détails
Quels sont les bénéfices d’utiliser des supports visuels pour les personnes avec autisme ?
  • Article
  • CAA, Communication, Ecole, Famille, Psychomotricité, TSA
La structuration visuelle, est-ce vraiment important ? Oui ! Ideereka vous dit comment les supports visuels pour les personnes avec autisme vous aident au…
Publié le 11/03/2022
Voir les détails
Le livret des émotions de Noël
  • Matériel
  • Communication, Emotion, Famille, TDAH, TSA
Noël est une période joyeuse, mais qui peut être une source d’angoisse et d’anxiété. Ce livret de Noël vous accompagne avant, pendant, et après…
Publié le 02/12/2021
Voir les détails
Voir toutes les ressources
Restez informés

En vous inscrivant à notre lettre vous serez tenus informés des nouvelles sensibilisations et formations qu’eeForm propose. C’est promis, pas de SPAMS ; et vous avez toujours la possibilité de vous désabonner.

Mis à jour le 23/05/2022 à 15:52.

Tous droits réservés, copie interdite (même partielle)

Accueil
Nous
FAQ
Contact
Boutique
Bon de commande
Mentions légales
Règlement intérieur

Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux !

Facebook-f Instagram

Notre équipe est disponible au téléphone : 
+33 (0)4 69 96 31 33

Avec eeForm
Avant

Avec eeForm vous progressez à votre rythme, à l’horaire que vous souhaitez, pendant plusieurs semaines. Et le formateur est toujours à disposition !

En savoir plus